mai 15, 2008

LE GRAND POÈTE MEURT DE SE TROP MASTURBER

PLUS QUE GRAND,CONSIDÉRABLE,SA MAIN LUI DONNAIT DU PLAISIR..

Pourquoi le nommer ?..sur ce blog on aime la culture les peintres,sculpteurs,poètes..Lui,au sommet de son art mais de santé fragile,donne son corps et meurt de trop se donner plaisir,solitaire en sa tour et jusque dans la tombe..L'amante vint trop tard..Il tardait à la prévenir,et cette jouissance comment la dire..pourtant ils s'écrivaient,mais les échanges épistolaires entre un poète et unen intellectuelle abordent rarement les rivages de l'auto-satiosfaction ,chaque soir et tard dans la nuit...gerbe d'étoiles...

Il lisait l'Atharva Veda,elle, Freud..

O Asvin,répandez sur moi le suc de l'abeille,ô maîtres de la splendeur,afin que j'adresse aux hommes une parole pleine d'éclat..
Elle lui reprochait ses langueurs - un poète doit être homme,-et le suc des abeillesn'était pas son mièl..Encore,s'il s'agissait de Songes..,son Maître l'avait enseignée dans l'art de l'interprétation..Mais il ne s'agissait pas de songes,un jeu de langage,,aveu pudique donné par unpoète -ce suc qui se répand,ne pouvait-elle deviner ? Elle la psychanalyste ?

La servante au grand coeur .trouva le corps ,un soir,sur une volée de marches,une feuille à la main,il s'accusait de sa " jouissance",enfin tout était dit..
Mais que pouvait faire l'intellectuelle amante,pschynalyste de surcroît,-le pourquoi de la masturbation ..? Fragile,épuisé, ! -certes,le grand poète était au bout du rouleau, mais elle aurai du comprendre que son plaisir solitaire était le fil rouge qui le tenait encore à la vie; L'EXTASE..étoile polaire d'une jouissanee obscure,dont il assurait,dans sa demière missive que ce plaisir à lui donné par la fièvre des mains,c'ètat sa dernire Elégie,comme à Duisno,losqu'il étaient ensemble..

Paradoxe de l'amour :elle l'attendait,mais respectait sa distance le croyant heureux dans sa tour...Lui l'attendait aussi pour sa délivrance.Mais la Nature ,le hasard peut-être ,ont préféré ce décalage,et l'amant meurt de jouir,loin de sa belle privé de sa présence et du plaisir..

La psychanaliste pertit le contrôle de sa machine,un soir,non loin de la tour qu'elle voulait revoir avant de quitter pour toujours le pays..Ils se sont rejoint dans le Jardin des Promesses,le Jardin de la Claire Perception Intérieure,-ils y entrèrent ensemble..Elle chantait un poème ,où il était question d'un Bien-Aimé de fruits d'eau vive et d'aromates.., amie,soeur,amante,mère, " mange mon mièl,lui disait-elle,bois mon vin..Je mange tes yeux répondit le Poète.Voici mes mains.
J.P.

Jean Pauzin " éternité - Patriarche du Web - Paris,ce 15 Mai 2008

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