février 27, 2009

NOTRE CERVEAU A LE SENS DE L'ÉFFORT ET..

NOTRE CERVEAU A LE SENS DE L'ÉFFORT IL ENVOIT DES ORDRES ET ,EN PARALLÈLE, IL ENVOIT AUSSI UNE COPIE...

C'est tout récemment,vers 2003..que le fonctionnementa été formellement démontré,mais les discussions duraient depuis le 19ème siècle.. A présent cette sensation d'éffort est clairement identifiée. Petit exemple :

PRENDRE UNE TASSE DE CAFÉ..

Le but de votre action c'est de "porter la tasse à la bouche sans la casser ni la renverser ".
Votre cerveau va s'emparer du problème : il envoit ses ordes au cortex moteur prlmaire et les muscles à contracter sont choisis.Les neurons en partance transmettent, ensuite, leur message aux motoneurones qui descendent le long de la moelle épinière et déclanchent le mouvement.

UNE COPIE EN PARALLÈLE..

Mais,en parallèle,votre cerveau envoie aussi une copie de la commande au cortex pariétal inférieur qui s'en sert pour créer une représentation préalable des mouvements à accomplir, à l'origine des sensations d'éffort qui précèdent le mouvement.
Au tout début du mouvement ces sensations fusionnent avec les informations issues des contractions musculaires dans les ganglions de la base.Nous ressentons alors pleinement l'éffort moteur.

Qu'on réflechisse quelques instants à cette merveille de cohérence,de pertinence,de vitesse d'enclanchement,le tout doublé par une copie sans laquelle la sensation d'éffort ne peut être..Elle existe,mais dissociée de la contraction éffective des muscles..

La conscience de soi ne peut se passer de l'expérience subjective de l'éffort. A méditer,,ça va loin pour les théoriciens,théologiens ,politiques et autres baratineurs de la " Rupture"...
Et vous ? Vous ,ne pouvez boire "automatiquement" votre tasse de café,sous peine de tout renverser..Ça ne se théorise pas la dégustation "d'un petit noir."..en vitesse au comptoir.. Il y faut le sens de l'éffort..


En savoir plus ? : www.larecherche.fr Mars 2009 page 52/55



VIE ÉTERNELLE. JEAN PAUZIN EXPERT VIELLISSEMENT PLEINE FORME. patriarche du Web .




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